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103 articles taggés Criminels nazis -

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Criminel Nazi (12288)

Richard De Bodt


 
Richard De Bodt ( Bruxelles , 26 Février 1908 - Saint-Gilles , 3 Janvier 1975 ) était un flamand SS 'il.

Il est devenu notoire comme le «bourreau Breendonk.

Il a été condamné à mort par la cour martiale de Malines, le 7 mai 1946.
 
 
 
Life

Richard De Bodt était éclusier à Bruxelles.

Avant la guerre, il appartenait à la fasciste Rex mouvement.

Après l'occupation de la Belgique en 1940, il est devenu un membre de la commune utilise SS Flandre et NSVAP.




Breendonk

De Bodt est arrivé au Fort Breendonk au cours d'Août 1942.

Il avait le degré de SS Rotten führer (caporal) dans le SD (Service de sécurité).

Dès le début, il était le confident du commandant du camp SS-Sturmbannführer Philipp Schmitt .

Il a rapporté ce qu'il a vu ou entendu au commandant du camp.

Comme les autres SS flamand superviseurs travail, il était sous la supervision directe de la brutale SS Untersturmführer Arthur Prauss.

Cela n'a pas hésité à l'humilier, à la vue de tous les prisonniers par lui pour lui donner une gifle comme il a compté tort sur la pomme.

À son tour jutte Richard De Bodt autres hommes SS flamand sur, en particulier son compagnon Fernand Wyss, de sorte qu'ils ont renforcé les uns des autres tendances violentes.

Richard De Bodt était un imposant homme corpulent de 1,90 m.

Mais il était intelligent et rusé.

Avec Prauss étaient le camp SS flamand que les prisonniers sont confrontés à la face brutale.

Ils ont ensuite été suspendues dans la mémoire collective des prisonniers.

Bientôt, les prisonniers ont réalisé que De Bodt était le plus dangereux du camp SS.

Richard De Bodt frapper plus fort que le reste et a choisi de préférence parmi les endroits les plus douloureux.

Wyss s'expliquerait à la cour que lui et De Bodt et Felix Brusselaers était le plus cruel des prisonniers.

Lors du retrait de l'Bodt à Willebroek essayé d'échapper à un prisonnier.

Il a été attrapé et tué par coups de couteau baïonnette, des coups de crosse de fusil et des balles.

Il est également apparu dans la torture du camp, mais pas dans le rôle du bourreau.

Il est allé avec Fernand Wyss, sadique procéder.

Dans l'hiver de 1942-1943, lorsque l'armée allemande a subi une défaite à la bataille de Stalingrad, il a sorti sa colère sur les prisonniers juifs.

Ils ont tué au moins vingt Juifs et deux détenus australiens en leur ordonnant d'aller dans le fossé de glace autour du camp.

Elle a coulé dans le fond boueux et noyé.

Dans un jeu cruel, qui se composent des versions légèrement différentes, un prisonnier a été harcelé trop creusé sur lui jusqu'à ce que son nez dans une fosse profonde.

Lorsque le prisonnier a crié à l'agonie, il a été creusé.

Quatre prisonniers l'emportèrent avec un chariot, tandis que De Bodt a frappé avec une matraque sur les prisonniers.

Au détour frapper le panier et a été le premier prisonnier dans l'eau.

Quand il a été enlevé, il ne bougeait pas.

Le corps sans vie a ensuite été enlevé.

Avec son copain Fernand Wyss, il est responsable de la mort de cinq travailleurs postaux qui opposent les occupants en raison de la résistance ont été emprisonnés à Breendonk.

Il a également été l'un des hommes SS flamands qui ont donné la grâce plan à la fusillade sur le site d'exécution.

Il a montré au large des taches de sang sur son uniforme et le fouet devant les prisonniers.




Vol pour l' Allemagne

A partir de Septembre 1944, à l'approche des forces alliées, les SS ont fui vers l'Allemagne.

Il était, avec Brusselaers, l'école de police Furstenberg envoyé et plus tard affecté à la SS Polizei Brigade Flandern.

Ils ont ensuite perdu toute trace de lui jusqu'à la fin de 1944, quand il a comparu comme témoin au mariage d'un autre Breendonk-mate Edmond Cuyt.

Il a ensuite été transféré à la Division Langemarck .

En Avril 1945, un mois avant la capitulation de l'Allemagne nazie, il a réalisé que l'Allemagne ne pouvait pas gagner le combat et a changé de camp.

Il a réussi à rejoindre comme interprète pour l'armée américaine.

Six semaines plus tard , il se fixa à Nuremberg avec sa femme et de l' enfant et a changé son nom à Richard Verstraeten.

Un ancien SS hongrois a cru, avec Prauss, après avoir vu à Hanovre en Février 1947, mais cela est douteux.

Il a trouvé du travail en tant que transporteur jusqu'en 1950.

Après cela, comment étrange, il est enrôlé dans l'armée française.

Le tribunal belge n'a pas réussi à le trouver dans un temps long.

Il était le 7 mai 1946 par contumace condamné à mort par une cour martiale de Malines pour assassiner ou d' homicide involontaire de quinze prisonniers.

Ils sont venus à le ramener sur la piste en 1951.

Il a essayé de rentrer en Belgique sous son pseudonyme Richard Verstraeten.

Le 2 Juin, 1951 a alerté le parquet de Bruges Militaire d' Anvers Richard Verstraeten en effet été condamné à mort Richard De Bodt.

Il a été arrêté le 9 Juillet dans la zone française d'occupation et emprisonné à Rastatt .




De retour en Belgique

Le 19 Octobre, 1951 De Bodt a été extradé vers la Belgique, encore vêtu de son uniforme militaire français.

Six mois plus tôt, cependant, avait déjà décidé le gouvernement belge de ne pas procéder à des exécutions.

Les condamnations à mort ont été commuées en travaux forcés de la vie qui a été jugé d'une libération anticipée.

Par conséquent, la mort de Richard De Bodt a été converti le 4 Août 1952 à travaux forcés à perpétuité.

Dix jours plus tard Emiel Van Coppenolle, le commandant de la gendarmerie pendant la guerre et qui a également été condamné à mort en 1948, mais une libération anticipée.

La patrie aimante associations d'amis des anciens prisonniers et associations d' anciens combattants crier leur indignation et exigé la démission du ministre de la Justice Joseph Pholien.

Il a été contraint de présenter sa démission au roi le 3 Septembre 1952.

Richard De Bodt a été enfermé dans la prison de Saint-Gilles et y mourut en début de 1975 à l'âge de 66 avec le diabète .
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#Posté le mardi 29 novembre 2016 01:40

Modifié le mercredi 10 mai 2017 11:55

Criminels Nazis (11569)

Ion Antonescu
 
Criminels  Nazis    (11569)
 
 
Ion Victor Antonescu, né à Pitești le 15 juin 1882, mort exécuté le 1er juin 1946 à Jilava (non loin de Bucarest), est un militaire roumain devenu un homme politique d'extrême droite.
 
Il fut le chef du gouvernement et chef de l'État roumain (dictateur - (ro) conducător - du Royaume de Roumanie) de 1940 à 1944.
 
Il engagea son pays, aux côtés de l'Allemagne nationale-socialiste dans la Seconde Guerre mondiale.
 
Il fut condamné à mort pour crimes de guerre et fusillé après guerre.
 
 
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#Posté le jeudi 07 mai 2015 11:11

Modifié le mercredi 25 décembre 2019 05:35

Criminels Nazis (11466)

László Bárdossy
 

Criminels Nazis (11466)


Fonctions
Premier ministre hongrois
3 avril 1941 – 9 avril 1942
 
Monarque
Miklós Horthy
 
Prédécesseur
Pál Teleki
 
 
 
Biographie
 
Date de naissance
10 décembre 1890
 
Lieu de naissance
Szombathely
 
Date de décès
10 janvier 1946
 
Lieu de décès
 Royaume de Hongrie Budapest
 
Nationalité
Hongroise
 
Profession
Diplomate

Criminels Nazis (11466)


László Bárdossy (Ladislaus von Bardossy) (né le 10 décembre 1890 à Szombathely et décédé le 10 janvier 1946) est un homme politique et premier ministre du Royaume de Hongrie de 1941 à 1942.
 
Criminels Nazis (11466)

Jugé en novembre 1945 par un tribunal populaire, il fut condamné à mort pour crimes de guerre et collaboration avec les nazis.
 

 
Il fut fusillé à Budapest en 1946.
 


 
 
 
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#Posté le dimanche 25 janvier 2015 10:12

Modifié le lundi 08 mai 2017 05:29

Criminel Nazi (11060)

Kurt Asche

 
 
Criminel  Nazi   (11060)

Kurt Asche, né à Hambourg, le 11 octobre 1909 et, peut-être décédé en 1998 était l'obersturmbannführer-SS et le Judenreferent ayant en charge la déportation des juifs et des tsiganes durant la Seconde Guerre mondiale en Belgique.
 
Sous sa direction, du 2 août 1942 à octobre 1943, 25 000 juifs et tsiganes furent déportés via la Caserne Dossin à Malines vers Auschwitz.
 
 

Judenreferent

Engagé dans la SA (section d'assaut) en 1931, il était membre du NSDAP.
 
Dès 1935, il fait partie du SD.
 
De 1939 à 1940, il est affecté au bureau local du SD à Lublin chargé de la section juive.
 
Il assiste, comme il le reconnaitra plus tard, aux fusillades en masse perpétrées par les Einsatzgruppen de la Sicherheitspolizei et des SD.
 
Au début de l'année 1941, il est muté à Bruxelles où il est le représentant du chef du service de la sécurité pour la Belgique et le Nord de la France.
 
Il fut le premier judenreferent (expert de la question juive) désigné par les Nazis.
 
Quelques mois plus tard, Kurt Asche prend la direction du "département juif" jusqu'à sa retraite forcée qui surviendra en octobre 1943 à la suite de ses malversations.

À Bruxelles, Asche prit en charge l'organisation des déportations vers Auschwitz.
 
Il était en contact étroit avec Adolf Eichmann, le chef du RSHA à Berlin qui mit au point la Solution finale à l'échelle du Reich.
 
Le responsable direct d'Asche était Ernst Ehlers.
 
Kurt Asche mit sur pied l'Association des Juifs en Belgique (AJB) qui regroupait des représentants juifs dont les missions étaient directement confiées par l'occupant.
 
L'AJB s'occupera ainsi de la distribution des étoiles juives auprès de ses ressortissants.
 
Par la suite, l'AJB transmettra les "convocations à Malines" pour le "travail obligatoire" qui étaient en fait des allers-simples" pour le camp d'extermination d'Auschwitz.
 
Sur les trois premiers mois des déportations, 17 000 juifs se présentèrent donc spontanément sans qu'Assche n'ait à organiser de rafle ou d'arrestation.
 
Après la guerre de nombreux témoins décrirent Kurt Asche comme un "diable sur la terre" qui s'était par ailleurs largement enrichi en détournant les biens de ceux qu'il conduisait à la mort.
 
Il sera, en raison de ces faits, muté à Gand.
 
Il sera ensuite condamné par un tribunal militaire allemand à 16 mois de prison.
 
Il purgera sa peine au camp de punition de Mauthausen.
 

 
Après la guerre

Kurt Asche disparut en Allemagne sous une fausse identité (Kurt Klein) jusqu'en 1962, année durant laquelle, le Service central d'enquêtes sur les crimes nationaux-socialistes lui demandera des précisions quant à son identité.
 
En 1975, Beate Klarsfeld, à sa recherche, retrouva sa trace à Hambourg.
 
Criminel  Nazi   (11060)
 
 

Son procès

Le procès de Kurt Asche se déroulera à Kiel, en Allemagne, le 26 novembre 1980.
 
Kurt Asche devait comparaître en même temps que son supérieur direct: Ernst Ehlers.
 
Ce dernier s'étant suicidé le 4 octobre 1980, Asche comparaîtra seul.
 
Maxime Steinberg était l'expert belge de la partie civile.
 
Face aux accusations de complicité de meurtre, il n'aura de cesse de "charger" son supérieur arguant qu'il ne faisait qu'obéir aux ordres et qu'en outre, il ignorait tout du sort réservé aux juifs.
 
Le verdict sera prononcé le 8 juillet 1981.
 
Kurt Asche est condamné à sept année de réclusion.
 
Le tribunal commentera sa "clémente" décision en expliquant qu'ils tinrent compte de l'âge avancé de l'inculpé qui ne connaîtra probablement plus la liberté, la priorité étant que "justice ait été rendue".
 
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#Posté le samedi 25 octobre 2014 05:34

Modifié le dimanche 07 mai 2017 11:31

Des Criminel Nazis (10396)

Karl Bömelburg
 
 
Karl Bömelburg, né le 28 octobre 1885 à Elberfeld et mort le 1er janvier 1946 fut le chef de la Gestapo en France pendant la Seconde Guerre mondiale.


Sturmbannführer-SS, il avait autorité notamment sur la section IV J, chargée de la déportation des Juifs, dont Alois Brunner, envoyé en 1943 par Müller, fut le responsable.
 
Alias : Charles Bois, Mollemburg, Bennelburger.

 

Avant la guerre

Karl Bömelburg nait à Elberfeld, le 28 octobre 1885 (aujourd'hui fusionnée dans Wuppertal), en Allemagne.
 
Pendant sa jeunesse, il passe cinq ans à Paris.
 
Puis il rentre en Allemagne, se marie et travaille à Berlin dans la pâtisserie de ses parents.
 
En 1931, Il entre au NSDAP, le parti nazi.
 
Il est embauché dans la SA, puis dans la SS.
 
Il rejoint la Gestapo en 1933, où il devient commissaire à la direction de la Kripo au siège de Berlin.
 
Il est membre de la suite de von Ribbentrop à Paris en 1938.
 
Début novembre, il est chargé d'enquêter sur le meurtre du conseiller d'ambassade Ernst vom Rath.
 
Puis l'affaire ayant été résolue rapidement, il devient attaché de l'ambassade d'Allemagne à Paris.
 
Il met en place un centre officieux de la Gestapo à Paris. Il travaille à Lyon et à Saint-Étienne, ce qui lui permettra de s'exprimer en bon français.
 
En janvier 1939, il est expulsé par l'inspecteur général de la police judiciaire Antoine Mondanel pour l'aide fournie aux organisation françaises d'extrême-droite et aux agents de la 5e colonne.
 
À Prague, il est commissaire de police à la Gestapo, chef de la section de lutte contre le maquis.
 
 
 
Paris

Le 14 juin 1940, lors de l'invasion allemande, il revient en France dans le Kommando SD du colonel Helmut Knochen et dirige le KdS comme conseiller criminel.
 
En août, promu Lieutenant colonel SS, il est nommé par Heinrich Müller comme son représentant personnel et comme chef de la Gestapo (section IV du BdS pour la France) avec le titre de directeur criminel.
 
Durant les années qu'il passe à Paris, son activité se traduit par la répression et les interrogatoires, au cours desquels ses subordonnés utilisent souvent la torture.
 
Non seulement, il supervise la répression mise en ½uvre par ses hommes, mais il suit aussi de très près les activités des auxiliaires français de la Gestapo, notamment de l'équipe de Bony et Lafont rue Lauriston.
 
C'est lui qui fera ajouter 10 cellules aux locaux de la rue Lauriston.
 
La police française étant obligée de remettre à la Gestapo tous les gaullistes, communistes et autres résistants arrêtés par ses soins, c'est Boemelburg et ses subordonnés qui réceptionnent les personnes que leur remettent les auxiliaires français de la Gestapo et la police française.
 
Il ratifie les décisions prises par ses subordonnés concernant le sort des personnes détenues.
 
Celles-ci étaient très rarement relâchées.
 
Un certain nombre d'entre elles étaient désignées comme otages à fusiller. Les autres, dont les Juifs, étaient envoyées en Allemagne, où elles étaient exécutées ou enfermées dans les camps de la mort.
 
Boemelburg est responsable de l'envoi en Allemagne de la plus grande partie des 150 000 Français qui aboutirent dans les camps.
 
Il faut mentionner aussi toutes les personnes qui ne sortirent pas vivantes des locaux de la Gestapo.
 
Boemelburg appréciait les soirées mondaines et les petits cadeaux offerts par Henri Lafont provenant des très trafics du marché noir et des différentes spoliations.

L'un des souhaits de Boemelburg est d'avoir un élevage de volailles : Henri Lafont lui trouve une ferme dans les environs de Giverny, qu'il fait exploiter par ses hommes.
 
Ses bureaux sont situés successivement :
11 rue des Saussaies, jusqu'en 1942,82 avenue Foch.
 
Ses adjoints sont le Sturmbannführer Kieffer, (commissaire de la police criminelle), Heimboldt et Wolf.
 
En 1941, il succède à Rudy de Mérode au 40, boulevard Victor-Hugo, à Neuilly-sur-Seine, dans une Gasthaus (maison réservée aux hôtes « forcés »), dite villa Boemelburg.
 
Il recrute des agents personnels, portant l'indicatif B ou Boe.
 
Il effectue un voyage en zone non occupée pour réactiver ses agents d'avant-guerre.
 
Il supervise l'enquête sur Paul Collette, qui a tiré sur Pierre Laval et Marcel Déat.
 
Il dirige le Kommando Orchestre rouge et met en place un Funkspiel contre les Soviétiques.
 
À l'automne 1942, il met en place Aktion Donar.
 
En juin 1943, Jean Moulin, arrêté le 21 à Caluire, passe deux semaines (du 25 juin au 8 juillet) à la villa Boemelburg, et meurt lors de son transfert en train à Berlin.
 
Boemelburg est le dernier officier supérieur allemand à voir Jean Moulin vivant.
 
En août, Albert Lebrun et André François-Poncet sont aussi retenus dans cette même villa par Boemelburg avant leur transfert en Allemagne.
 
Exception à la règle, ces hôtes de marque sont bien traités.
 
 

Vichy

En novembre 1943, atteint par la limite d'âge, Boemelburg est remplacé par Stindt, et est muté à Vichy, où il représente Karl Oberg.
 
En juin 1944, en remplacement du capitaine SS Hugo Geissler, tué lors d'un accrochage près de Murat (Cantal), il devient le chef de la Gestapo en zone sud.
 
 
 
Sigmaringen

Le 28 août 1944, il assure le transfert du maréchal Pétain à Sigmaringenoù il devient le chef de la sécurité.
 
Le 29 avril 1945, il autorise le départ du Maréchal vers la Suisse.
 
 
Disparition

En mai 1945, après la capitulation, Boemelburg disparaît et ne sera jamais officiellement retrouvé, tout comme son chef à Berlin, Heinrich Müller.
 
Il subtilise les papiers d'un sergent Bergman, tué sous un bombardement, et met les siens à la place.
 
Il est embauché comme jardinier par un hobereau des environs de Munich, puis promu comme bibliothécaire.
 
Il dirige un groupe de nazis actifs réfugiés en Espagne.
 
En 1946, à la Saint-Sylvestre, il glisse sur du verglas et meurt, le crâne fendu.
 
Plus tard, son fils Ralf fera graver son nom sur la pierre tombale.
 
Le 2 mars 1950, il est condamné à mort par contumace par le tribunal militaire de Lyon.
 
Les autorités tchécoslovaques le recherchent également pour crime de guerre.
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#Posté le samedi 04 juin 2011 18:52

Modifié le mercredi 03 mai 2017 02:50

Criminels Nazis (10353)

Otto Abetz


Criminels Nazis  (10353)
 
 
Otto Abetz (né le 26 mai 1903 et mort le 5 mai 1958) est un diplomate allemand, ambassadeur d'Allemagne à Paris (France) pendant la Seconde Guerre mondiale.
 
 
 
Biographie

Otto Abetz est né à Schwetzingen (Grand-duché de Bade).
 
Il étudie à Karlsruhe, où il devient professeur d'art et de biologie dans une école de filles.
 
 

Social-démocrate, pacifiste et francophile

Francophile, il s'implique dans le développement de l'entente franco-allemande.
 
Abetz fait partie de l'environnement de la « jeunesse bündisch » (Bündische Jugend (de)) et, en 1930, est le fondateur de la réunion de Sohlberg, qui permet la rencontre de jeunes des organisations de jeunesse allemande et française, réunion se déroulant dans une auberge au Sohlberg dans la Forêt-Noire.
 
De ces rencontres se crée un groupe solide, le Cercle de Sohlberg, qui édite un magazine dont le président est Otto Abetz et dont les participants du côté français sont des hommes aussi divers que Jean Luchaire, Bertrand de Jouvenel ou Pierre Brossolette.
 
Abetz était apprécié parmi ses invités français, qui estimaient que celui-ci s'engageait sérieusement dans la nécessaire réconciliation franco-allemande mise en place à la suite de la Première Guerre mondiale.
 
Durant cette période, Abetz est proche des positions socialistes et pacifistes.
 
 
 
Adhésion au Parti national-socialiste

En 1930, Abetz se rapproche du NSDAP, le parti nazi, dont il partage les positions en politique étrangère, notamment les demandes de révision de parties essentielles du traité de Versailles.
 
Il le rejoint en 1931.
En 1932, Abetz épouse Suzanne de Bruyker, une Française qui était secrétaire du journaliste Jean Luchaire.
 
De 1934 à 1939, il ½uvre à la constitution et au renforcement en France du Comité France-Allemagne, qui publie une revue, les Cahiers franco-allemands, qui avait pour but de propager l'idée de réconciliation franco-allemande dans le milieu des intellectuels, des anciens combattants, des journalistes et des politiques.
 
Il est proche de Pierre Drieu la Rochelle.
Entré dans le service des affaires étrangères allemand en 1935, il représenta l'Allemagne en France en 1938 et en 1939, et fut initié à la franc-maçonnerie (il fut membre de la loge Goethe de la GLF).
 
Le 30 juin 1939, il fut expulsé de France5, comme présumé espion.
 
 

Ambassadeur d'Allemagne en France

Le 8 juillet 1940, à la suite de l'armistice entre la France et l'Allemagne, il fut de nouveau envoyé en France.
 
Nommé ambassadeur de l'Allemagne le 3 août 1940, il conserva ce poste jusqu'en 1944.
 
Dès l'été 1940, il donne son prénom à la liste Otto des ouvrages interdits par la censure allemande.
 
Il organise l'expropriation des biens privés appartenant à des familles juives et fait main basse sur les prestigieuses collections Seligmann, Wildenstein, Alphonse Kahn, Rosenberg, Bernheim, Maurice et Robert de Rothschild, James Armand, Maurice Dreyfus, Raymond Lazard...
 
Hitler écrit à Abetz le 3 août 1940 pour lui demander de faire en sorte que la « France reste faible » et que « tout soit entrepris pour susciter la division interne », affirmant qu'il n'y a « aucun intérêt à soutenir réellement des forces völkisch ou nationales en France ».
 
Suivant les directives de Berlin, Abetz va donc travailler à maintenir la division des partis collaborationnistes pour empêcher que l'un finisse par constituer un mouvement national et autoritaire de type fasciste susceptible de rendre à la France sa force.
 
Il suscite des concurrents au PPF de Jacques Doriot dont il écrira en 1942 qu'il faut contrer ses initiatives car « il pourrait finir par s'imposer et susciter une mystique nationale capable de rénover la France dans le sens national-socialiste ».
 
Conformément à ses inclinations personnelles d'ancien social-démocrate, il préfère travailler avec d'anciens socialistes comme Marcel Déat et avec des collaborateurs surtout motivés par le pacifisme et l'idée d'unifier l'Europe, quitte à ce que ce soit sous domination allemande.
 
Dans son rapport à Ribbentrop daté du 23 juin 1941, Abetz prône « un traité de paix qui empêcherait, par la mise en place d'un gouvernement de gauche et l'occupation permanente par l'Allemagne, toute opposition contre l'Europe dirigée par le Reich ».
 
De fait, le conseiller Schleier, constatant que « la grande majorité des partisans de la politique de collaboration vient de la gauche française » pousse Abetz à favoriser l'entrée au gouvernement de Vichy des syndicalistes et socialistes acquis à la collaboration.
 
L'ambassade allemande cherchera ainsi à favoriser la collaboration des syndicats, ce qui se traduira par la mise en place de rapports privilégiés avec Pierre Vigne, ancien secrétaire des Fédérations française et internationale des mineurs, Georges Dumoulin, secrétaire de la fédération des mineurs du Nord, Marcel Roy, secrétaire de la Fédération des métaux, Roger Paul, secrétaire général de la Fédération des travailleurs du textile, Albert Perrot, président de l'Union des syndicats parisiens.
 
Depuis décembre 1940, une coopération suivie existe avec les syndicalistes réunies autour de l'hebdomadaire L'Atelier que dirige l'ancien député socialiste Gabriel Lafaye.
 
En accord avec l'ambassade, il est décidé d'autoriser les syndicats à réactiver leurs sections et à publier leur bulletins d'information.
 
Le 17 avril 1941 sera créé le Centre syndicaliste de propagande que dirigent Gabriel Lafaye, René Mesnard, Pierre Vigne et les anciens secrétaires adjoints de la CGT, Aimé Rey et Georges Dumoulin, qui assure la liaison avec le RNP.
 
Parmi beaucoup d'autres groupements, l'ambassade travaille avec la Fédération française des travailleurs de l'agriculture d'André Parsal, ancien député communiste rallié à la collaboration.
 
En mai 1941, il signe pour l'Allemagne les protocoles de Paris avec l'amiral Darlan visant à accorder des facilités militaires à l'armée allemande en Afrique et en Syrie.
 
Abetz est rappelé en Allemagne fin 1942 et y restera jusqu'à la fin 1943 ; il rédigera pendant cette période un mémorandum dans lequel il constate et regrette que les efforts de certains français en faveur de la Collaboration aient été toujours rejetés ou méprisés par Berlin.
 
 

Après-guerre
 
En juillet 1949, le tribunal militaire de Paris le condamna, malgré la plaidoirie de maître Floriot, à 20 ans de travaux forcés pour crimes de guerre, en particulier pour son rôle dans l'organisation de la déportation des juifs de France vers les camps de la mort.
 
Il fut libéré en avril 1954.
 
Il trouva la mort avec son épouse en 1958 dans un accident de voiture sur une autoroute d'Allemagne près de Langenfeld.
 
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#Posté le vendredi 29 juillet 2016 11:38

Modifié le mercredi 16 octobre 2019 09:54

Des Criminels Nazis (10345)

Wilhelm Beiglböck
 

 
 Des Criminels Nazis (10345)

Wilhelm Franz Josef Beiglböck, né le 10 octobre 1905 à Hochneukirchen-Gschaidt et mort le 22 novembre 1963 à Buxtehude, est un médecin allemand et consultant pour la Luftwaffe.
 
 
 
Biographie

Il étudie à l'école de l'abbaye de Melk et a étudié la médecine à l'Université de Vienne.
 
Il travaille comme assistant à l'Hôpital universitaire de Vienne avec Franz Chvostek et à l'hôpital de l'Université avec Hans Eppinger.
 
En 1933, il devient membre du NSDAP et 1934 devient membre des SS.
 
Il obtient le grade de lieutenant-colonel.
 
En 1940, il est médecin-chef et en mai 1941 il travaille comme médecin de l'Armée de l'Air.
 
En 1944, il devient professeur adjoint à l'Université de Vienne.
 
En mai 1944, des questions sont posées quant à l'eau de mer.
 
La question concernait la survie des pilotes de haute mer.
 
Il y avait deux méthodes, celle de l'ingénieur des Forces aériennes de Vienne Eduard Berka (il masquait le goût du sel avec des vitamines) et la méthode du médecin Konrad Schäfer (une salinité réduite chimiquement).
 
Afin de prendre la décision, des expériences humaines ont été prévues, avec des dommages pour la santé ; le choix est tombé sur les camps de concentration.
 
Les expérimences ont été effectuées par Wilhelm Beiglböck au camp de concentration de Dachau.
 
Les cobayes ont été Jakob Bamberger, Karl Höllenreiner, Joseph Laubinger et Ernst Mettbach.
 
Il a conduit des expérimentations médicales nazies liées à l'eau de mer au camp de concentration de Dachau.
 
Il est l'un des condamnés au Procès des médecins.




 
 
 
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#Posté le jeudi 13 mai 2010 09:55

Modifié le mercredi 03 mai 2017 02:30

Des Criminels Nazis (10282)

Alfred Rosenberg
 

 
Des Criminels Nazis  (10282)

 
 Alfred Rosenberg, né le 12 janvier 1893 à Reval et mort le 16 octobre 1946 à Nuremberg, est un homme politique, architecte et essayiste allemand, membre du Parti national-socialiste des travailleurs allemands et théoricien du nazisme.
 
Durant la Seconde Guerre mondiale, il occupe le poste de ministre du Reich aux Territoires occupés de l'Est.
 
Condamné à mort lors du procès de Nuremberg, il est exécuté par pendaison.

 

Un acteur du génocide

De par ses compétences, Alfred Rosenberg révèle rapidement l'un des principaux acteurs du génocide juif dans les territoires de l'Est sur lesquels il exerce son autorité.
 
Des Criminels Nazis  (10282)Koch (à droite) et Rosenberg (au centre), visitant le monastère Lawra à Kiev, Reichskommissariat d'Ukraine
 
 
 
 
Lors des préparatifs de la guerre à l'Est, les territoires qu'il est censé administrer quelques semaines après le déclenchement des opérations militaires sont ainsi prévus pour accueillir les Juifs du Reich et des régions limitrophes.
 

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Ainsi, en octobre 1941, il est interpellé par Hans Frank, le gouverneur général de Pologne, au sujet de la déportation des Juifs du Gouvernement général dans les territoires placés sous sa responsabilité, mais à ce moment, il se montre réticent à cette déportation systématique, impossible à réaliser, selon lui.
 

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De même, peu de temps après, le 15 novembre, Rosenberg rencontre Himmler afin de savoir si la politique génocidaire est du ressort de la police, placée ainsi dans le domaine de compétence du Reichsführer SS, ou peut être assimilée à un « élément de la politique générale », donc sous sa propre compétence.
 
Ainsi, durant l'hiver 1941-1942, il tente de prendre le contrôle de la gestion des Juifs vivant dans les territoires conquis sur l'URSS, ou encore en juillet 1942, face à Himmler, lorsqu'il propose une définition du Juif dans les territoires dont il a la responsabilité.
 

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Au tribunal de Nuremberg

Au procès de Nuremberg, le 1er octobre 1946, il est condamné à mort après avoir été reconnu responsable des massacres organisés dans les pays à l'Est de l'Allemagne, pour plan concerté ou complot, crimes contre la paix, crimes de guerre et crimes contre l'humanité.
 
Il est pendu le16 octobre suivant.
 
Quand il lui est demandé s'il a quelque chose à déclarer avant son exécution, il répond d'un simple « Non ».
 
Après son exécution, les principaux acteurs de la mise en ½uvre de la politique de réorganisation de l'Est du continent européen utilisent sa position pour se disculper eux-mêmes.
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#Posté le jeudi 19 septembre 2013 05:44

Modifié le mardi 02 mai 2017 11:39

Des Criminels Nazis (10206)

Martin Bormann
 
Des Criminels Nazis (10206)
 
 
Martin Bormann, né le 17 juin 1900 près de Halberstadt en Saxe-Anhalt et mort officiellement le 2 mai 1945 à Berlin, est un haut dignitaire nazi.
 
Conseiller de Hitler, il devint un des hommes les plus puissants du Troisième Reich.
 
Plusieurs historiens l'ont qualifié d'éminence grise du parti nazi (NSDAP). Il côtoyait Hitler au Berghof.
 
À ce titre, il devint chef de la Parteikanzlei (chancellerie du Parti) et secrétaire particulier d'Adolf Hitler.
 
Il disparut durant la bataille de Berlin et, présumé en fuite, fut condamné à mort par contumace pour crimes contre l'humanité au procès de Nuremberg.
 
Un cadavre fut découvert lors de travaux de voirie à Berlin en 1972 et fut ensuite officiellement identifié comme étant celui de Bormann même si des rumeurs sur sa fuite persistèrent.
 
 
 
Biographie

Jeunesse

Il est le fils de Theodor Bormann (1862–1903), employé des postes, et de sa seconde épouse, Antonie Bernhardine Mennong, qui auront ensemble deux autres enfants, dont un deuxième fils Albert (né en 1902).
 
Il a également une demi-s½ur Else, et un demi-frère Walter, issu du premier mariage de leur père avec Louise Grobler, décédée en 1898.
 
Son prénom de Martin lui fut attribué à la naissance parce que son père, luthérien très croyant, souhaitait ainsi honorer la mémoire du fondateur de la Réforme protestante, Martin Luther.
 
Il abandonna l'école pour travailler dans une ferme dans le Mecklembourg.
 
Après un bref service au cours de la Première Guerre mondiale, il rejoignit le Freikorps dans cette province.
 
En mars 1925, il fut condamné à une année de prison comme complice de son ami Rudolf Höß (futur commandant d'Auschwitz) pour le meurtre de Walter Kadow (supposé avoir dénoncé l'activiste nationaliste Albert Leo Schlageter aux Français qui occupaient à l'époque la Ruhr).
 
Après sa libération, il rejoint le NSDAP en Thuringe en 1927, devient l'officier de presse régional, et, plus tard, chargé d'affaires en 1928.
 
 
 
Le Troisième Reich

Fonctions officielles

En octobre 1933, il devient un des Reichsleiter du NSDAP et en novembre un membre du Reichstag.
 
De juillet 1933 jusqu'à 1941, Bormann exerce les fonctions de secrétaire personnel de Rudolf Hess.
 
 
 
Proche de Hitler

Martin Bormann fait construire le Kehlsteinhaus (le « Nid d'aigle »), dans l'Obersalzberg, non loin du Berghof, la résidence d'Hitler à Berchtesgaden dans les Alpes bavaroises, à la limite de la frontière autrichienne.
 
Il en fit cadeau à son Führer pour son 50e anniversaire au nom du NSDAP.
 
C'est une réalisation luxueuse et très coûteuse dans laquelle Hitler ne se rend que très rarement.
 
C'est aussi un lieu de rassemblement des chefs nazis avec leurs femmes et enfants ; peu ont eu le privilège d'accéder au Nid d'aigle.
 
Perché à 1 834 m d'altitude, le lieu offre une superbe vue panoramique du pays de Berchtesgaden et des montagnes autrichiennes.
 
 
 
Chef de la chancellerie du parti

Ayant mené une carrière discrète au siège du parti et au service de Hitler (gérant notamment sa fortune privée), son efficacité et sa fidélité sans faille à son chef lui procurèrent les moyens de contrôler la bureaucratie centrale du parti.
 
C'est donc tout naturellement que la fuite de Rudolf Hess vers la Grande-Bretagne permit à Bormann de prendre la tête de la Parteikanzlei en mai 1941, où il prouva qu'il était un maître dans le combat politique et administratif.
 
Il administra et développa le fonds Adolf-Hitler pour l'industrie, des ressources obtenues par des contributions « volontaires » d'entrepreneurs à succès qui furent versées aux fonctionnaires au sommet du parti.
 
De plus, il administra les finances personnelles de Hitler, ainsi que ses rendez-vous et sa chancellerie particulière.
 
Il était toujours aux côtés de son chef pendant les discours publics, prenant des notes.
 
 

Acteur des rivalités au sein du Reich

En 1943, sorti victorieux du conflit de préséance et de pouvoir qui l'opposait à Hans Lammers, Bormann contrôla l'accès à Hitler, obligeant les ministres et les fonctionnaires du parti à dresser une liste des points qu'ils souhaitaient aborder avec le Chancelier.
 
Ce pouvoir se concrétisa dans un titre, reçu le 12 avril 1943, de Secrétaire du Führer , qui lui conféra un pouvoir énorme puisqu'une bonne partie de la législation était assise sur le Führerprinzip (la volonté du führer).
 
Il disposait en effet de la possibilité de transformer en décret contraignant des propos tenus par Hitler lors d'échanges plus ou moins informels.
 
À partir de cette période, appuyé sur Robert Ley, chef de l'organisation du parti, il donna au NSDAP un nouveau souffle qui lui attribua davantage encore de pouvoirs, même s'il dut les partager avec les Gauleiter, vieux compagnons de route de Hitler qui disposaient d'un accès direct au Führer et ainsi court-circuitaient le contrôle centralisé symbolisé par Bormann.
 
 

Derniers mois

La réorganisation des pouvoirs consécutive à l'échec de l'attentat contre Hitler de juillet 1944 renforce considérablement les pouvoirs du NSDAP et par conséquent les siens : il ranime le parti, appuyé par la politique de Goebbels, qui souhaite en faire un instrument dans la mise en place de la guerre totale.
 
Dans les faits, il utilise les mesures mises en place par le ministre de la Propagande pour renforcer à la fois le pouvoir du parti sur la population et le pouvoir des Gauleiter sur l'administration.
 
Il conçoit le renforcement des pouvoirs de ces derniers comme un moyen d'augmenter ses propres pouvoirs, tout d'abord aux dépens de la chancellerie du Reich, transformée selon les circonstances en simple boîte aux lettres ou en courroie de transmission d'ordres donnés par Bormann.
 
Dans les faits, Bormann, en contrôlant l'administration du parti, non seulement usurpe les pouvoirs de l'administration du Reich, mais aussi accélère la fragmentation administrative du Reich.
 
Il joue aussi un rôle dans la répression des conjurés du 20 juillet 1944, en réfrénant la colère des militants du parti, tout en incitant ces derniers à mettre en avant les velléités de révolution sociale dont ils ne s'étaient jamais complètement départis ce qui lui permet de resserrer son contrôle sur le NSDAP à la suite de l'attentat.
 
De même, il compte parmi les adversaires les plus déterminés d'Albert Speer, dont il présente le ministère comme un ramassis de responsables économiques réactionnaires, et qu'il subordonne à Goebbels et au parti pour tout ce qui touche à la guerre totale.
 
Dans cette logique de guerre totale, confiée au parti, non seulement il accentue la pression du parti sur tous les secteurs de la société, l'industrie, la population, mais il s'immisce aussi dans le contrôle de l'armée et exerce ainsi un droit de regard sur les affaires militaires : en lien avec Himmler, il prépare au mois de septembre 1944, le projet de décret destiné à légaliser une levée d'hommes supplémentaires, anticipant ainsi de quelques semaines la levée du Volkssturm ; rapidement, il exerce une forte influence dans la direction de ces troupes, prenant l'ascendant sur Himmler et la SS dans la lutte pour le contrôle de ces unités.
 
De même, le parti hérite, alors que les frontières du Reich sont menacées, de compétences en matière de fortifications : des bunkers, des pièges anti-chars et des barrages routiers doivent être érigés dans l'ensemble des Gaue menacés, à partir de la fin de l'été 1944
 
Confiée au parti, cette tâche est coordonnée au niveau du Reich par Bormann, qui dispose ainsi de la possibilité légale, octroyée par Hitler, tout d'abord de donner aux Gauleiter, commissaires à la défense du Reich, les consignes nécessaires à la réalisation de ces travaux de défense dans chaque Gau, ensuite de demander à Robert Ley, chef du Front du Travail, toute la main d'½uvre nécessaire; les hommes, originaires des Gaue occidentaux, mis à sa disposition pour les constructions défensives, reçoivent aussi des consignes pour aider au dégagement des décombres des villes bombardées à partir du mois de novembre 1944.
 
Durant les derniers mois de la guerre, Bormann transforme la chancellerie du NSDAP, dont il a la responsabilité, en instance bureaucratique très prolifique (1 372 directives et circulaires, sans compter les ordres de Hitler, en 1944), mais dont la vanité et l'inutilité des ordres et autres décrets n'échappent pas à Goebbels, qui évoque une « chancellerie de papier » : sa grande capacité de travail, son accès privilégié à Hitler, son contrôle de l'accès à ce dernier lui confère un pouvoir quasi absolu dans le Reich.
 
À partir du mois de décembre 1944, parfaitement informé des signes de désagrégation de la Wehrmacht, il se réfugie, pour fuir la réalité de la situation militaire qui se dégrade, dans le travail bureaucratique et le contrôle tatillon, allant jusqu'à se livrer à une inspection détaillée du quartier général de Ziegenberg, préparé pour l'offensive des Ardennes, ou bien dans des projets chimériques de réaménagement du Reich.
 
À partir de janvier 1945, il ordonne aux responsables du Parti nazi de rester à leurs fonctions, sous peine de sanctions sévères, face aux avancées des troupes alliées, même si, de façon paradoxale, il prend la défense d'Arthur Greiser, Gauleiter de Wartheland, qui a abandonné la ville de Posen.
 
 
 
Vie privée

Bormann était marié avec Gerda Buch (1909-1946), nazie convaincue et fille du juge de la cour suprême du parti, Walter Buch, avec laquelle il eut dix enfants, dont Martin Bormann junior (1930-2013).
 
Ils forment un couple uni mais peu conventionnel : sa femme se réjouit de ses conquêtes féminines, tout en espérant en janvier 1944 que l'une d'entre elles, l'actrice Manja Behrens (de) lui donne un autre enfant.
 
Anticlérical et antichrétien, il rédige avec son épouse, dans le courant de l'année 1944, une proposition de loi autorisant la bigamie dans le Reich.
 
Des Criminels Nazis (10206)De gauche à droite : Adolf Hitler, Albert Speer, Martin Bormann, Hermann Giesler et Arno Breker à Paris, le 30 juin 1940.
 
 

 
Un Nazi convaincu

Antichrétien notoire, il rappelle plusieurs fois l'incompatibilité entre nazisme et christianisme, et se montra favorable aux persécutions contre les églises catholiques et protestantes.
 
Il écrit ainsi : « Les conceptions nationales-socialistes et chrétiennes sont incompatibles. Les Églises chrétiennes fondent leur ½uvre sur l'ignorance de l'être humain, alors que le national-socialisme repose sur des bases scientifiques ».
 
Le rejet virulent de la religion se justifie par des considérations idéologiques propres au nazisme et plus pragmatiquement dans l'idée de supprimer l'influence du clergé, mais témoigne aussi du souci pour Bormann de « s'assurer une sorte d'infaillibilité idéologique ».
 
 
La disparition

Durant les derniers jours du Troisième Reich, Bormann se saoula en compagnie des généraux Hans Krebs et Wilhelm Burgdorf, se demandant s'il était préférable de se suicider ou de fuir.
 
Bormann choisit finalement la fuite, à la différence des deux généraux nazis qui se suicidèrent dans la nuit du 1er au 2 mai.
 
 
 
Les faits

Après le suicide d'Hitler, des personnes réfugiées dans le Führerbunker décidèrent de fuir l'avancée des troupes soviétiques.
 
Le soir du 1er mai « Bormann et Mohnke tentèrent d'organiser en groupes le personnel à évacuer.

Ces groupes prirent le départ vers vingt-trois heures, deux heures plus tard que prévu. [...] Pendant un certain temps, Bormann, Stumpfegger, Schwägermann et Axmann restèrent groupés.

Ils suivirent la ligne de chemin de fer jusqu'à la gare de Lerther Strasse.

Puis ils se séparèrent. Bormann et Stumpfegger partirent vers le nord-est en direction de la gare de Stettin.

Axmann partit dans le sens opposé, mais il se heurta à une patrouille soviétique.

Il revint sur ses pas, reprenant l'itinéraire qu'avait emprunté Bormann.
 
Peu après, il tomba sur deux cadavres.

Il les identifia comme étant ceux de Bormann et de Stumpfegger, mais n'eut pas le temps de déterminer comment ils avaient été tués. »
 
Dans le chaos de la chute de Berlin, les cadavres ne furent pas retrouvés, donnant naissance à des spéculations sur une fuite éventuelle.
 
Du fait de l'incertitude autour de sa disparition, Bormann fut condamné à mort par contumace au procès de Nuremberg pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité.
 


Découverte du corps

Le 7 décembre 1972, deux cadavres furent découverts lors de travaux de creusement d'une tranchée pour une canalisation d'eau près de la gare de Lehrter, un lieu qui correspondait au témoignage d'Artur Axmann.
 
Ces squelettes furent identifiés comme ceux de Bormann et de Stumpfegger grâce à leur denture.
 
Le prothésiste Fritz Echtmann reconnut un bridge en trois parties qu'il avait lui-même fabriqué pour Bormann en 1942.
 
Du verre retrouvé entre ses dents indiquerait qu'il se serait suicidé avec une capsule de cyanure.
Le 4 avril 1973, le procureur de Francfort reconnut officiellement la mort de Bormann sur la base de l'expertise dentaire de Reidar Sognnaes.
 
En 1998, un test d'ADN (analyse de l'ADN mitochondrial) mené par le Dr. W. Eisenmenger, de l'Institut de médecine légale de Munich, le confirma.
 

 
Controverses sur sa mort

Mais de nombreuses controverses demeurent sur la mort de Bormann.
 
Certains contestent les analyses effectuées sur la denture du squelette ainsi que les analyses ADN.
 
Des personnalités comme le fils d'Adolf Eichmann ou Simon Wiesenthal (ce dernier dans le chapitre ultime des Assassins sont parmi nous, publié en 1967) affirmèrent qu'il était en vie en Amérique de Sud et plus précisément au Paraguay.[réf. nécessaire]
 
Certains[Qui ?] affirment d'ailleurs qu'il est mort en Amérique du Sud et que son corps a été ramené en Allemagne pour qu'il soit découvert à Berlin.
 
Cette thèse se fonde sur l'argile rouge retrouvée sur le squelette de la station Lehrter.
 
Ce type d'argile ne se trouve pas à Berlin mais bien à Ita au Paraguay où la présence de Bormann était suspectée.
 
Ces deux thèses sont évoquées dans le documentaire Bormann, un homme à l'ombre du Führer.
 
La fiction El Lobo du journaliste et écrivain français Jacques Kaufmann a relancé la polémique au sujet du fameux trésor nazi dont Bormann aurait organisé le transfert en Argentine à la fin de la guerre.
 
Certains auteurs affirmèrent en effet que le trésor avait été subtilisé aux Allemands par le couple Perón qui avait accueilli à bras ouverts de nombreux criminels de guerre.
 
L'auteur s'est engouffré dans la brèche en imaginant que le trésor était caché dans le mausolée d'Eva Perón.
 

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D'autres pensent que Bormann aurait survécu en tant qu'espion soviétique et qu'il continua de conseiller les Soviétiques après la guerre.
 
Collaborateur condamné à mort en Belgique en 1946, Paul Van Aerschodt (1922-2011) a vécu sous le nom de Pablo Simons à San Sebastian en Espagne, où l'a rencontré un journaliste du quotidien belge La Dernière Heure, Gilbert Dupont.
 
Paul van Aerschodt soutient avoir rencontré Martin Bormann « à quatre reprises vers 1960 » à La Paz, en Bolivie, où il s'était réfugié en 1947 « grâce à un visa obtenu en quelques jours à l'intervention d'un père clarétain, Mgr Antezana ».
 
Ses déclarations devraient relancer la controverse sur la mort du dignitaire nazi, officiellement déclarée en 1945, et raviver la polémique sur le soutien de l'Église aux criminels nazis en fuite. « Bormann venait du Paraguay.
 
Il préparait avec une vingtaine d'officiers un coup d'État pour renverser Perón en Argentine », a-t-il raconté. « Bormann était resté un fanatique [...] Sous le nom d'Augustin von Lembach, il se faisait passer pour un père rédemptoriste et portait la soutane noire, ce qui le faisait bien marrer », a-t-il ajouté.
 
« Il célébrait des communions, des mariages, des funérailles et administrait les derniers sacrements », a-t-il précisé.
 
Il est à ce propos intéressant de constater que cette fausse identité est citée dès 1981 par Paul Manning (en)37.

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#Posté le mercredi 11 septembre 2013 05:21

Modifié le vendredi 11 octobre 2019 05:20

Des Criminels Nazis (10186)

Arthur Seyss-Inquart

 Des Criminels Nazis (10186)
 
 
Arthur Seyß-Inquart, né le 22 juillet 1892 à Stannern (empire d'Autriche-Hongrie) et mort par pendaison le 16 octobre 1946 à Nuremberg (Allemagne), est un homme politique autrichien, partisan du national-socialisme, qui a favorisé l'Anschluss en 1938, et a été gouverneur des Pays-Bas pendant la Seconde Guerre mondiale.
 
Il a atteint le rang honorifique de Gruppenführera au sein de la SS.
 
Il a été condamné à mort au procès de Nuremberg.
 
 

Biographie

Peut-être né sous le nom « Arthur Zajtich », (son père aurait changé son nom slave en « Seyss-Inquart » en 1907) à Stannern (aujourd'hui Stonařov), en Moravie, Arthur Seyß-Inquart s'établit comme avocat à Vienne en 1921.
 
Il commence à militer très tôt pour l'Anschluss (en français : « raccordement »), terme qui désigne le rattachement de l'Autriche à l'Allemagne, au nom d'une culture germanique commune.
 

 
Fondateur du parti national-socialiste autrichien, entretenant des liens très étroits avec le parti allemand équivalent, il est imposé au chancelier Schuschnigg — convoqué par Hitler à Berchtesgaden — comme ministre de l'Intérieur et de la Sécurité, le15 février 1938.
 
Dans la logique du « protocole Hossbach », qui, dès 1937, prévoit d'instaurer la « Grande Allemagne », Hitler multiplie les pressions sur le gouvernement autrichien et obtient la démission de Schuschnigg. Seyss-Inquart, qui le remplace immédiatement à la chancellerie, fait alors appel au Reich et, le12 mars 1938, les troupes allemandes entrent dans Vienne, où elles reçoivent un accueil triomphal.
 

 
 
Peu après, il est nommé gouverneur de l'Autriche (Reichstatthalter) puis, à la suite de l'invasion de la partie occidentale de la Pologne en septembre 1939, représentant du gouverneur général de Pologne, Hans Frank, à Cracovie.

Le 18 mai 1940, il est nommé commissaire du Reich dans les Pays-Bas occupés.
 
Fidèle exécutant, il mène alors une politique combinant pillage économique, persécutions raciales et déportations, ce qui provoque des rébellions de la part des Hollandais comme l'épisode de la grève de février 1941, durement réprimée par les occupants.

Arrêté à la Libération, il est condamné à mort lors du procès de Nuremberg pour crimes contre la paix, crimes de guerre et crimes contre l'humanité, puis exécuté peu après par pendaison.
 

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Tags : Criminels nazis -
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#Posté le lundi 09 septembre 2013 06:33

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